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Analyse génomique des micro-­organismes dans le sol

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Résultat

(En anglais seulement)

  • Creation of a body of knowledge about S. meliloti, a bacterium that fixes nitrogen, which is an essential process for plant growth.
  • Number of research personnel employed by the project: 28 undergraduates, 9 graduate students, 3 fellows, 15 technicians
  • Number of peer-reviewed publications: 17 research papers
  • Co-funders: McMaster University, Ontario Research Development Challenge
  • Fund, Premier’s Research Excellence Fund, Canada Foundation for Innovation, University of Waterloo

Statut

Past

Concurrence

Concours II

Centre(s) de génomique

GE3LS

No

Chef(s) de projet

Lancement du projet d'exercice financier

2002-2003

Description du projet

La bactérie du sol Sinorhizobium meliloti s’agrippe aux racines des légumineuses et réduit l’azote gazeux en ammoniaque dans un processus appelé fixation de l’azote. Les plantes se servent alors de cette ammoniaque pour pousser. Les agriculteurs utilisent donc, bien souvent, d’importantes quantités d’engrais azoté pour améliorer le rendement des récoltes. Toutefois, un excès d’engrais entraîne des problèmes environnementaux, car ce produit chimique contamine les sources d’eau douce.

Comme les légumineuses sont très importantes pour l’industrie agricole canadienne, l’étude de la fixation de l’azote mènera à des moyens de contrer ces problèmes environnementaux et de réduire les coûts des agriculteurs. Bien qu’on ait déjà réalisé le séquençage du génome du Sinorhizobium meliloti, on ne connaît pas la fonction de nombreux gènes de la bactérie.

Ce projet porte sur ces gènes afin de déterminer leur fonction et leur importance pour la survie de la bactérie. Outre ses avantages pour l’agriculture, cette recherche contribue également à notre compréhension de maladies de plantes et d’animaux transmises du sol en permettant de comparer les micro­organismes du sol. Dirigé par des chercheurs de l’Université McMaster, ce projet fait appel à la collaboration de chercheurs de cette université et de l’Université de Waterloo, ainsi qu’à des chercheurs de l’Université de Calgary, de l’Université du Manitoba, de l’Université McGill et d’Agriculture et Agroalimentaire Canada au Québec.

 

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