Les déchets rejetés par une industrie peuvent faire la fortune d’une autre.
La génomique permet aux processus biologiques de soutenir l’économie circulaire, qu’il s’agisse de retirer les déchets de plastique de l’environnement à l’aide d’enzymes et de bactéries capables de les décomposer en produits chimiques et en composants réutilisables, ou de transformer les déchets de l’industrie des pâtes et papiers en produits de grande valeur. Les investissements de l’Entreprise canadienne de la génomique dans le traitement des déchets de papier et de pâte à papier produisent déjà un effet sur l’industrie, avec d’importants engagements à adopter la nouvelle technologie.
La bioéconomie circulaire représente un marché mondial potentiel de 7,7 billions de dollars américains. Au Canada, l’adoption accélérée de la bioéconomie circulaire fait partie intégrante de l’économie carboneutre de demain, avec un marché prévu de 240 milliards de dollars au pays d’ici 2031. Le gouvernement fédéral s’étant engagé à soutenir l’économie circulaire, y compris ses composantes biologiques, la génomique pourra continuer à valoriser les sous-produits de la production.
En collaboration avec l’ensemble du réseau de l’Entreprise canadienne de la génomique